La théorie des écosystèmes...La biosphère

La théorie de l'écosystème

Les écosystèmes formés par les populations composées d'individus forment le biosme qui lui même forme la biosphère.
La biosphère fait appel à la science des naturalistes, géologues, biologistes sur l'importance" de l'étude quantitative des  phénomènes chimiques de la planète "La biosphère est un phénomène géologique globale ayant toujours existé, formée par la partie de l'écorce terrestre qui  est occupée par la vie".
Les organismes vivants sont considérés comme des transformateurs qui changent les rayons cosmiques en énergie terrestre active
Les éléments chimiques sont classés:
-Matière vivante autotrophe (les plantes vertes)
-Matière vivante hétérotrophe (les animaux et les champignons)
-Matière biogéne (les combustibles fossiles)
-Matière bioinerte (eau, les roches sédimentaires et les parties inférieures de l'atmosphère)
Le biome étant l'ensemble des grands espaces de la planète (prairie, forêt, lac,...).

Les équations de Lotka et Volterra font l'objet d'une vérification expérimentale par l'écologue soviétique G.F Gaux qui en laboratoire travaille sur les insectes et les microorganismes. Ce dernier tire le principe d'exclusion compétitive qui porte désormais son nom et pose que dans une région géographique donnée, deux espèces distinctes ayant les mêmes exigences écologiques ne peuvent coexister, l'une d'elle va alors éliminer l'autre, ces deux espèces ne peuvent occuper  la même niche écologique; mais ceci est jugé  irréaliste dans la nature car on ne tient pas compte des relations entre espèce  destructive et espèce détruite, c'est la bicenotique. Il faut donc faire intervenir les relations trophiques ainsi que les facteurs qui règlent les successions écologiques, les facteurs abiotiques ( formant des cycles), les facteurs énergétique des organismes en y joignant à cette relation: les relations trophiques et la radiation solaire puis l'intégration de la biocénose et du biotope, en plus il fait intégrer la biologie, la climatologie ..... mesurer la vitesse d'accroissement de la biomasse et appliquer tout ceci à l'écologie humaine.

L'écosystème est aujourd'hui l'unité fondamentale de l'écologie, bien que l'on essaye de franchir un autre niveau d'intégration englobant plusieurs  écosystèmes.




Vers une thermodynamique globale

Les écosystèmes n'obéissent pas au second principe de la thermodynamique selon lequel un système évolue vers un état d'equilibre qui correspond à une entropie maximale. Luttant contre sa propre fin par la fonction de nutrition, un organisme vivant de même qu'un écosystème matient un état de basse énergie.
Nous retrouvons ces résultats dans les flux de matière et d'énergie, la transformation de la matière se fait dans la chaîne alimentaire qui va en diminuant vers les consommateurs ainsi que le flux d'énergie.
Sachant que la quantité d'énergie perdue pour la respiration augmente dans le sens des consommateurs qui lui permettent d'augmenter des déplacements et augmenter leur chance de rencontrer des proies d'où le matient de l'entropie.
Ce qui explique que l'on ne peut avoir autant d'individus producteurs que d'individus consommateurs, et le territoire de chasse d'un grand prédateur peut être immense