La théorie de l'évolution, La biodiversité, le rôle de la pédagogie de la nature

La théorie de l'évolution
La théorie de l'évolution de Darwin consiste qu'il y a une adaptation après une mutation deviendra dominante si le milieu est favorable
La théorie de l'évolution originale proposé par le japonais Motoo Kimura avance que la dérive génétique devient le moteur principale de changements de fréquence d'allées en lieu et place de la sélection naturelle. Comme la transformation des alleles est complètement aléatoire ,on trouve des mutations bénéfique pouvant être perdue et certaines mutations délétères fixées. Mais cette théorie neutraliste est valable au niveau génétique voir moléculaire, elle ne joue pas de rôle macroscopique dominé par la sélection naturelle, mais cette théorie explique l'extrême diversité au niveau moléculaire car une forme particulière de protéines peut se fixer aléatoirement dans un types de compétition totalement aléatoire sans pression du milieu.


La biodiversité
La biodiversité est composée à l'échelle de la planète de toutes les espèces  qui ont évolué ou pas  mais qui vivent à l'heure actuelle et la biodiversité ne compte pas les espèces qui ont disparues.

Il a fallu très longtemps pour produire tout ce qui vit  dans la nature et la disparition d'une espèce sans compensation de mutants plus adaptés qui fourniront une autre espèce est un drame car c'est le nombre de vivants différents qui diminue. Il faut donc préserver cette diversité, c'est à dire la biodiversité, et on n'a pas le droit en peu de temps de détruire l'oeuvre lointaine de la nature... surtout en si peu de temps comme actuellement! Pour agir à temps et ne pas se voir confronter à la disparition du dernier  taxon sans aucune possibilité de revenir vers l'espèce,  il est nécessaire d'étudier l'écosystème qui interagit avec les milieux extérieurs, pollutions, invasions, climat... mais aussi de leur milieux intérieurs habitat, consanguinité, pathologie, reproduction...

Il est nécessaire de poser le problème croissant de ne plus diminuer la biodiversité  en contrôlant les écosystèmes et de poser le problème de l'homme et de son comportement , de la population mondiale toujours croissante, en 2600 on sera  coude à coude tout autour de la terre chauffée au rouge par l'énergie que nous utiliserons. C'est la moitié du temps qui nous sépare de Charlemagne à aujourd'hui, voici l'enjeu de nos sociétés futures d'où une pédagogie non alarmiste mais ferme sur les problèmes de l'humanité à venir si l'évolution de la démographie et de l'énergie continue dans le futur au même rythme.